HISTORIQUE

En 1959, la richesse cynégétique de la Basse-Loire suscitait déjà bien des convoitises. Cette année là, les risques de privatisation, et donc de morcellement des territoires, ont amené les responsables des Sociétés de chasse locales de l’époque à se regrouper en une seule et unique association, afin de pérenniser la chasse au gibier d'eau populaire sur les territoires de la rive nord de la LOIRE, entre ST NAZAIRE et NANTES.

Ce regroupement a permis essentiellement de : - Mettre en place une gestion contrôlée et commune des zones humides de ce secteur, en édictant des règles volontaires de pratique de la chasse au gibier d'eau, règles applicables à tous les territoires bordant la LOIRE, en rive nord, dans sa partie estuarienne. - Donner accès aux territoires ainsi regroupés à tous les chasseurs de gibier d'eau sans exception.

C'était un pari sur l'avenir, difficile à mettre en oeuvre alors que la chasse était à l’époque perçue comme "chasse cueillette". Né de cette volonté d'oeuvrer pour l'intérêt général de tous les chasseurs de gibier d'eau, ce regroupement de type G.I.C. (Groupement d'Intérêt Cynégétique) d'avant-garde a pourtant fonctionné, et depuis près de 50 années n'a jamais dérogé à ses principes fondamentaux. Aujourd'hui, le SYNDICAT INTERCOMMUNAL DE CHASSE AU GIBIER D’EAU DE LA BASSE-LOIRE NORD va bien au delà de la simple gestion de la pratique de la chasse au gibier d'eau voulue à l'origine par ses fondateurs. Depuis une trentaine d'années en effet, une véritable politique de gestion et de conservation des territoires a été mise en place et développée par Gilles Briey et son équipe. Après tout ce temps, les bonnes volontés ne sont pas émoussées et le SICGEBLN a le désir d'aller toujours plus loin ! De nouveaux challenges se profilent à l'horizon et il a la volonté de les gagner, par passion.

NOTRE FONCTIONNEMENT

Le SYNDICAT INTERCOMMUNAL DE CHASSE AU GIBIER D'EAU DE LA BASSE-LOIRE NORD est une Association de type loi 1901. Elle a été agréée au titre de la protection de la nature de 1980 à 2012. La loi ayant changé cette année-là, elle ne remplit plus la condition d'oeuvrer sur un département entier et a donc perdu cet agrément.

COMPOSITION DU SYNDICAT :

Historiquement il était le regroupement des Associations de chasse de 9 communes bordant le nord Loire entre Nantes et Saint-Nazaire, à savoir :
 ST HERBLAIN , INDRE, COUERON, ST ETIENNE DE MONTLUC, CORDEMAIS, BOUEE, LAVAU SUR LOIRE, LA CHAPELLE LAUNAY, DONGES.
Aujourd'hui, des propriétaires majeurs sont apparus (le Conservatoire du Littoral par exemple) et le Syndicat a négocié des baux de chasse avec eux ou a acquis ses propres propriétés. Il s'est ouvert à des personnes extérieures à ces communes et une large part des adhérents n'y habitent plus.

Un conseil d'administration est chargé de la gestion du Syndicat.

Celui-ci se compose :
 - Des Présidents des associations de chasse adhérentes au Syndicat.
 - Des Délégués représentant les chasseurs individuels non membres des associations de chasse adhérentes au Syndicat.
 - Des Responsables des diverses commissions du Syndicat.
 - Des propriétaires ou détenteurs de droit de chasse adhérents au Syndicat.
Les membres du bureau sont élus au sein de ce Conseil d'Administration.

Le bureau du SICGEBLN et les responsables

Président

BACHELIER Didier

Secrétaire

LUCAS Isabelle

Trésorier

NAINTRE Patrice

1er Vice président

REGNAULD Samuel

2éme Vice président

PLUMAUGAT Paul

3éme Vice président

LE VAILLANT Nicolas

Secretaire adjoint

MOUNIER David

Responsable

AUPIAIS Franck

Responsable

DAVID Alain

Délégué des actionnaires

de SORBAY Cyril

Responsable

FAUCON Yves

Délégué des actionnaires

GUILLET DE LA BROSSE Aymeric

Responsable

RADIGOIS Patrick

Administrateur

BEULE Jérôme

Administrateur

BOUJON Louis

Administrateur

BRIEY Gilles

Administrateur

CHOPINEAU Jean-François

Administrateur

de SORBAY Thierry

Administrateur

GUEDES Eric

Administrateur

JALLAIS Michel

Administrateur

MAILLARD Loic

Administrateur

MARTIN Jean-Michel

Administrateur

MONFORT Christophe

RELATIONS EXTERIEURES :

Le Syndicat adhère et/ou est en relation directe avec les organisations suivantes :
 - Fédération Départementale des Chasseurs de Loire-Atlantique (FDCLA)
 - Association Nationale des Chasseurs de Gibier d'Eau (ANCGE)
 - Conservatoire du Littoral et des Rivages Lacustres
 - Goupement d'intérêt Public Loire Estuair
 - Association Départementale des Chasseurs de Gibier d'Eau de Loire-Atlantique (ADCGELA)
 - Groupement d'Intérêt Cynégétique de la Basse Loire Nord
 - Conservatoire Régional des Rives de la Loire et Affluents

COMPOSITION DES TERRITOIRES DE CHASSE :

Actuellement, les territoires de chasse du SICGEBLN sont composés de la façon suivante :
 -Territoires du Port Autonome de NANTES/ST NAZAIRE
 -Territoires du Conservatoire de l'Espace Littoral et des Rivages Lacustres
 -Territoires privés apportés par les associations constituantes du SICGEBLN
 -Territoires du Syndicat des Marais de COUERON et ST ETIENNE DE MONTLUC
 -Territoires de propriétaires privés
 -Propriétés du SICGEBLN

ADHESION AU SYNDICAT :

Moyennant le versement d'une cotisation d'adhésion, qui implique de facto l'adhésion à la réglementation intérieure, tous les chasseurs de gibier d'eau peuvent avoir accès au territoire du Syndicat. Ils doivent simplement en faire la demande en utilisant les formulaires d’inscription, à retirer auprès du bureau du Syndicat courant Juin (ou se déplacer à la permanence assurée pendant l'Assemblée Générale) ou disponibles sur ce site. Le bureau examine ensuite les candidatures et décide de la suite qui leur est donnée avant l'ouverture du gibier d'eau.

Les adhérents des sociétés constituantes peuvent bénéficier du statut de sociétaire du SICGEBLN. Les adhérents non sociétaires mais habitant dans les communes de la Basse Loire bénéficient du statut de 1/2 actionnaire. Enfin les extérieurs peuvent adhérer au titre d'actionnaire.
A titre indicatif, les tarifs d’adhésion pratiqués en 2017 sont les suivants :
 - Actionnaires : 195€,
 - ½ Actionnaires : 164€,
 - sociétaires : 137€.
Environ 80% de ces cotisations donnent droit à réduction d'impots sur le revenu, au titre des dons aux oeuvres (environ 107€ pour un actionnaire). Les adhérents non imposables bénéficient eux d'une remise directe de 57€.

A noter que les détenteurs de permis de chasse validé peuvent bénéficier d’invitations à la journée sur le territoire du Syndicat après l’ouverture générale, moyennant le paiement, dans l’un des points de vente locaux ou sur internet, d’un droit de 13€ et l’accompagnement sur le terrain par un adhérent du SICGEBLN.

Un système de cartes dites "Découverte" est également mis en place. Il permet à des chasseurs extérieurs au département de Loire-Atlantique de chasser sur le territoire du SICGEBLN pendant 3 ou 9 jours consécutifs. A titre d'information, le tarif pour ces cartes était en 2012 de 55€ pour une carte 3 jours, 85 pour une carte "9 jours".

Enfin, les jeunes permis font l’objet d’une attention particulière : ils sont guidés individuellement par des Responsables pour la découverte du territoire et font l’objet pour une dizaine d'entre eux d’une carte offerte pour leur première saison lorsqu'ils adhèrent à l'Association Départementale des Jeunes Chasseurs de Loire-Atlantique.

LE SYNDICAT EN CHIFFRES :

Les Adhérents :
Le SICGEBLN compte près de 480 adhérents. Il s’agit à 98% d’hommes habitant (pour plus de 80%) le département de Loire Atlantique. La moitié est sociétaire, c’est à dire adhère à une association de chasse communale constitutive du SICGEBLN.Les autres adhérents (hors 44) habitent en Bretagne (5%, en majorité en Ille et Vilaine), Pays de Loire (<2%), Centre (<2%). A noter l’éloignement géographique significatif (> 300 km) d’une quinzaine d’adhérents résidant dans l’Allier, la Région parisienne…voire même la région PACA.

La Garderie :
Le Syndicat dispose d’une garderie privée chargée de faire respecter le règlement sur l’ensemble du territoire (y compris en Loire, à l’aide d’une embarcation motorisée). Ces 10 gardes particuliers sont encadrés par un Responsable du Bureau qui coordonne leur action sur le terrain. Des opérations ponctuelles peuvent également être menées avec le soutien de la garderie de l’ONCFS.

LE TERRITOIRE DU SYNDICAT

Schématiquement, il s’agit d’une vaste langue de zones humides comprenant la moitié nord du fleuve et les terrains le bordant (largeur variable) entre Nantes et Saint Nazaire (plus de 60 km). Cela représente environ 8 000 ha de terrains riches et variés : vasières, roselières, cuvettes naturelles, prairies inondables et prés-marais variablement humides au gré des saisons, des crues de la Loire, mais aussi des marées et tempêtes côtières. Il s’agit là d’une vraie spécificité des zones estuariennes, à la fois soumises aux aléas fluviaux et marins mais assimilables ni à l’un (DPF) ni à l’autre (DPM). A noter que la moitié environ de ce territoire (aval de Cordemais) est fortement soumise à la salinité du flot marin. L’écosystème y est de ce fait sensiblement différent de celui de la partie amont (voir le paragraphe Jussie). Un vaste réseau d’étiers draîne ce territoire…et Des mares de chasse ont été aménagées en certains points et permettent notamment en période de sécheresse d'offrir des secteurs en eau à la faune du marais.

Les réserves :
Ile de Pierre Rouge (230 ha), Baracons (141 Ha), Fleuve Loire (750 Ha), Estuaire Loire (3400 Ha). La gestion de ces réserves est assurée en partenariat entre le SICGEBLN, la Fédération Départementale des Chasseurs et l'Office National de la Chasse et de la Faune Sauvage.

Pour accéder à la cartographie détaillée, cliquez sur le plan ci-dessous :

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NOS ACTIONS

GESTION DES TERRITOIRES DANS L'INTÊRET GENERAL :

Le SICGEBLN s’est notamment fixé pour priorité l’achat des terrains abandonnés par le monde rural du fait de la déprise agricole et d’un manque de rentabilité. Il consacre une grande partie de son énergie et de ses fonds propres pour acquérir ces terrains (plus de 210 ha à ce jour) et exploiter au mieux leur potentiel en vue de l’accueil de l’avifaune migratrice.
Abandonner ces surfaces entraînerait inévitablement leur appauvrissement faunistique suite à la fermeture rapide du milieu par envahissement végétal, comblement, envasement….

GESTION DE LA PRATIQUE DE LA CHASSE :

• Elle est concrétisée par :
  • Un règlement intérieur qui détermine les principes de fonctionnement pratique de la chasse sur le territoire du Syndicat
  • Respect des périodes et jours de chasse : Deux jours par semaine pendant l'ouverture spécifique et tous les jours de la semaine pendant la période générale (Cette gestion du temps de chasse est abandonnée depuis la diminution de la période de chasse …)
  • Respect des prélèvements maximum autorisés (P.M.A.) pendant toute la campagne de chasse : 10 bécassines, 20 vanneaux, 4 oies et 20 canards par jour de chasse et par chasseur avec un maximum de 6 colverts et 10 canards d'une même espèce.
  • Respect des interdictions prescrites telles que l'établissement d'installations ou de postes fixes, de pénétrer sur les territoires pendant la période de fermeture, sur les réserves, de laisser des douilles ou toute autre forme de détritus, de stationner les véhicules dans les prairies ou chemins non prévus à cet effet ainsi qu'aux entrées de champs, de franchir haies et clôtures en dehors des passages aménagés, de laisser les barrières ouvertes, de chasser à poste fixe par groupe, de vendre tout gibier etc …
  • Une charte du sauvaginier qui amène chaque adhérent au respect d'un certain nombre de règles éthiques.
  • La présence d'un corps de garderie particulière qui comprend 10 gardes assermentés chargés de faire respecter la réglementation en vigueur.

GESTION DES ESPÉCES :

Afin d'évaluer la ressource et suivre son évolution, différentes enquêtes sont menées depuis fort longtemps sur les territoires du SICGEBLN, qui possède donc de ce fait une base de données non négligeable.

Enquêtes dénombrement des espèces (Comptages stationnement hivernal/prénuptial)
Ces opérations se déroulent sur 9 mois, de Août à Mai, chaque année.
Une équipe de compteurs agréés par l'ONCFS dispose de 5 téléscopes et opère des relevés sur les concentrations d'oiseaux aux abords des Réserves des Baracons (Couëron), de Pierre Rouge (La Chapelle Launay) et de Bilho (Montoir). Ces opérations d'évaluation s'effectuent aux environs du 15 de chaque mois. Les données recueillies sont transmises au réseau national « Oiseaux d’eau » par l'intermédiaire du coordinateur départemental.
L'officialisation des données est assurée par l'agrément des compteurs.

Enquêtes nidification
Ces enquêtes réalisées tout au long de la période de reproduction sur l'ensemble du territoire sont coordonnées par la permanente du SICGEBLN. Les données sont intégrées au Système d'Information Géographiqur dont s'est doté le SICGEBLN et mises à disposition de nos principaux partenaires.

Enquêtes prélèvements Pour obtenir son adhésion à la nouvelle saison, chaque adhérent a l'obligation de remplir un feuillet de prélèvement de la saison écoulée. Les données collectées sont adressées à l'ANCGE et à la FDCLA et à nos partenaires locaux (GIP, Conservatoire du Littoral). Elles font l’objet de traitement statistique au sein du SICGEBLN.
Il en ressort que le prélèvement moyen annuel en Basse Loire Nord est, suivant les années, de l’ordre de 25 à 30 oiseaux, par an et par chasseur.
Le tableau global est constitué de colverts (20 à 25%), de sarcelles d’hiver (18 à 22%), bécassines (18 à 22 %), vanneaux (10 à 15%), siffleurs (5 à 10%), souchets (3 à 6%), pilets (2 à 4%), courlis corlieux…

Les suivis réalisés ne se limitent pas à l'avifaune chassable mais à toute la faune et la flore du marais. Ainsi, des observations régulières, réalisées selon des protocoles qui font référence dans le domaine, permettent de tenir à jour un observatoire de la biodiversité présente dans les marais de Basse Loire Nord. Ces programmes d'observations sont essentiellement réalisés par les chasseurs bénévoles ou par notre permanente.

LA CHASSE SUR LE SYNDICAT INTERCOMMUNAL DE LA BASSE LOIRE NORD

La chasse du Gibier d’eau en Basse Loire Nord est pratiquée selon divers modes, plus ou moins rythmés par le mouvement des marées. Quel que soit son type de chasse, l’adhérent est toutefois vivement encouragé à se renseigner sur les conditions météorologiques, horaires et coefficients de marée avant d’enfiler ses cuissardes. Pour exemple, un vent soudain de force 7/8 peut en une heure totalement modifier l’aspect du territoire : le flot envahit les prés à grande vitesse et les recouvre par endroits de plus de 2m d’eau saumâtre… il n’y a alors plus qu’à attendre le reflux…les plus pressés risquent au mieux un bain glacé… Ce type d’aléa est connu des chasseurs pratiquant en bord de mer mais peut surprendre même certains chasseurs aguerris en Basse Loire.

Le « dernier fleuve sauvage » a quelque chose d’à la fois magique, quand il accueille sur son onde tranquille des milliers d’anatidés au repos dans les volutes matinales…et d’effrayant, quand il gronde, charrie d’énormes troncs d’arbre et engloutit tout sur son passage.

On aime la Loire…ou on la déteste, mais elle ne laisse jamais indifférent !

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• La chasse de nuit n’est pas autorisée en Loire Atlantique (historiquement, la chasse au gabion ou à la hutte ne fait pas partie de la culture cynégétique locale). Les sauvaginiers de Basse Loire Nord pratiquent en fait :
  • La chasse à la botte (limicoles, canards), en particulier celle de la bécassine au chien d’arrêt (le territoire est très réputé et des field-trials de renommée internationale y sont organisés par deux Responsables du SICGEBLN chaque année).
  • La chasse à la passée (canards, oies), ou à l’affût, avec ou sans appelant/blettes. Pour ce faire, le chasseur se place aux abords d’une zone de gagnage qu’il a repérée, généralement sans camouflage particulier pour la volée du soir. Cette zone peut être un simple « patouillis vaseux » de quelques m² (ce qui surprend parfois les invités…) ou de vastes étendues d’eau…
  • La chasse en bateau, sur les vasières, à poste, avec appelants et blettes. Ce mode de chasse est assez spécifique de la Basse Loire et compte une trentaine d’adeptes réguliers. Cette pratique est passionnante de technicité (le courant peut emporter les piques de blettes trop légèrement lestées et les vagues des navires de commerce noyer votre attelage si vous piquez trop près du rivage…), potentiellement dangereuse (navigation de nuit ou par temps de brouillard sur un fleuve où circulent des navires de commerce) et logistiquement pas simple (il faut disposer de matériel fiable, puissant pour lutter contre les courants et jongler en permanence avec les horaires de marées pour espérer une quelconque réussite), mais les résultats sont parfois à la hauteur de l’engagement… encore faut il être au bon endroit, au bon moment….Ce mode de chasse reste toutefois « réservé » à des équipages très aguerris et on comprendra aisément la cause du nombre restreint de pratiquants.

LES ESPÉCES COURAMMENT RENCONTRÉES:

Anatidés :canards de surface essentiellement (colvert, pilet, souchet, siffleur, chipeau, sarcelle d’hiver), et tadorne de belon (protégé)…
Limicoles : bécassine des marais et sourde, bécasseau maubèche et variable, pluvier doré, courlis cendré et corlieu, vanneau huppé, chevalier gambette / aboyeur, avocette et échasse (protégé)…
Divers : Cigogne blanche, Aigrette garzette, Spatule blanche, Ibis, Cygne, Oie cendrée…

EN GUISE DE CONCLUSION…

Ce qui précède retrace, dans les grandes lignes, le fonctionnement et la politique menés depuis 40 années par le SICGEBLN. Certaines actions sont menées dans un but recherché à court terme et dans l'intérêt particulier du Syndicat. D'autres, tels que les aménagements ou les enquêtes scientifiques, s'inscrivent dans un but d'intérêt général, favorable à la communauté de la chasse toute entière .
Le Syndicat s'efforce, par sa gestion, d'apporter sa part à la réalisation de l'intérêt général, de la sauvegarde des milieux et de l'avifaune, dans la mesure de ses moyens.

Tout ce travail associatif, donc basé sur le seul bénévolat , est mené essentiellement avec les fonds des adhérents.
II sera maintenu tant que le SYNDICAT INTERCOMMUNAL DE CHASSE AU GIBIER D'EAU DE LA BASSE-LOIRE NORD aura le retour de ses efforts, et, bien entendu, l'assurance de pouvoir continuer à pratiquer son activité dans des conditions normales.
Conscient des profondes mutations que la chasse du 21ème Siècle risque de subir, le SICGEBLN s’est de surcroît désormais engagé dans un nouveau front stratégique, celui de la Communication. C’est l’arme favorite de nos détracteurs qui réussissent à impacter l’opinion publique par le truchement de médias parfois fort complaisants…Il n’y aura pas d’autre terrain que celui-là pour répondre et ramener les esprits à des considérations plus objectives !!
Ce grand chantier ne fait que commencer.

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Pour autant le SICGEBLN a décidé d’utiliser tous les moyens à sa disposition pour le mener à bien. En voici deux exemples : la première opération « 24H de la sauvagine » réalisée en 2004 fût une réelle réussite auprès du grand public grâce à l’investissement de l’équipe et au relais…de la presse !! Et ce site internet qui a été conçu par des adhérents bénévoles. Quelques centaines d’heures de turpitudes pour un résultat qui offre une superbe vitrine à notre association à destination de tous, chasseurs ou non …

Cette Communication, le SICGEBLN l’envisage donc sous l’angle de l’ouverture et non sous celui d’une démagogie stérile.
S’ouvrir pour convaincre…voilà, notre nouveau challenge !